Réalisations – Événements

2020 Work in progress – Entrainement concert sur iPad

 ro3, Atmospheric music

Host :
AUM – Audio Mixer (incroyable hôte : gestion plugins, midi, mixage…) https://apps.apple.com/fr/app/aum-aud...
site développeur : http://kymatica.com/apps/aum

Plugins générateurs de sons :
SpaceCraft (granulizer) https://www.deltavaudio.com
Poly 2 (auto sequencer Polyrythmique circulaire) https://james-milton.com
SampleR (Mega sampleur avec granulaire et autres traitements + looper) http://samplr.net
Mononoke (synthétiseur polyphonique 2 oscillateurs) http://ruismaker.com
Tardigrain (granulizer) https://apps.apple.com/fr/app/tardigr…
Playbeat (boite à rythme) http://audiomodern.com/playbeat
Borderland (Granulizer graphique) http://www.borderlands-granular.com

Plugins FX :
FAC Alteza (reverb Exospheric, Shimmer & harmoniser) FAC Bandit (Multiband audio Fx) FAC Maxima (compresseur / limiteur) http://fredantoncorvest.com
MM-1 Mute Master (sequencer mute & fader) RE-1 Tape Machine (Looper) http://numericalaudio.com/index.html#
Eos 2 (reverb) RoughRider 3 (compresseur) https://www.audiodamage.com
Spectrum Synthesizer bundle : Granular (granulizer temps réel) https://burns.ca/spectrum.html
Mozaic Plugin Workshop (controllers) Rozeta Sequencer Suite : LFO générateur http://ruismaker.com

2019 Entre-deux eaux

Ingénieur son lors du tournage du teaser du film entre-deux eaux, puis mastering et édition de la bande sonore.

Réalisateurs :
David Lino & Stephen Dronval

Comédiens :
Gaele Cerisier
Marc Barbé
Jean-Marie Lorvellec
Simon Poulain : Passeur
Jean-Pierre Jagot : Accordéon diatonique, chant
Costel : Clarinette, chant
Arnaud Joubert : Banjo

Entre-deux eaux se présente comme un film naturaliste où fiction et réalité se fondent dans le paysage de Brière. Le son spatialisé permet d’élargir le cadre de l’image : révéler le hors-champ par le sonore.
Un travail d’électroacoustique nous ancre dans le concret, la Terre, l’eau et l’humain, tandis que la musicalité des thèmes suivent l’univers de cette femme accompagnée par de fantomatiques musiciens présents à l’image.

2015 Wood, Sticks & Bones – Moon

Moon (Olivier Menanteau) expose du 12 septembre au 31 octobre
La Gâterie « espace de création contemporaine » – 17 place du marché 85000 La Roche / Yon
behance.net gallery Wood-sticks-bones

Cette exposition s’inscrit dans un projet plus large nommé «Polychröm Symbiosis» qui traite de la symbiose entre le corps humain et les éléments naturels que sont la faune et la flore.
Après les expositions «Monochröm» en 2011 et «Across» en 2014 où les œuvres sont dessinées sur toiles ou sur papier; Moon explorera le volume à travers des installations (suspensions en bois), des peintures murales et de la photographie. L’exposition sera habillée par Romuald Tual, Design sonore diffusion 6.0.


Le Graphiste Möön, Olivier Menanteau et le DJ Romuald Tual aka 703 étaient réunis ce samedi 26 septembre 2015 de 14h à 19h pour une performance.

Sur les murs de la galerie, des photographies rehaussées de motifs tribaux, une fresque à la bombe de peinture et sur des plots en bois, des dessins qui rappellent ceux des Bushmen australiens. « L’idée est celle du cycle, poursuit Moon. La relation entre l’homme et la nature et le cycle dans lequel ils s’inscrivent. » Exemple le plus flagrant, ces mobiles suspendus au plafond par des ficelles et composés de morceaux de bois, de bouts d’étoffe et même de crâne de petits animaux. « Le bois vient de mon jardin. Les animaux ont servi à nourrir et leur crâne trouve, ici, une nouvelle fonction. Tout est venu de la nature et y retournera finalement. » Un mouvement cyclique que l’on retrouve dans la bande-son. Pour Romuald, « les mots du son sont les mêmes qu’en art graphique : couleur, teinte, rythme… L’échange entre les deux arts est naturel. » Une boucle d’une heure, en diffusion multicanale, accompagne donc l’installation et amplifie une atmosphère proche de celle des cabinets de curiosités.artistique mélangeant graphisme et musique dans le cadre du festival Météores, La Roche sur Yon .

2015 DELL made with Precision

Animation created for DELL France under the « Made with Precision » program.

Client: DELL France
Art direction / motion graphics: Romain Cousin
Sound design: Romuald Tual

2014 Recycle 5.1 « Mâchefer »

Épisode 6/6 d’une série documentaire sur le recyclage des déchets, images rythmiques hypnotisantes et création musicale originale spatialisée (5.1 & binaural).
Équipe de réalisation :
Martin Meissonnier, Pascal Signolet, Christophe Petit, Matthias Weber, Romuald Tual, Gilles Pézerat
5 min 36 sec

L’idée initiale de cette série est de faire du déchet oeuvre d’art : utiliser l’image des résidus de combustion pour révéler la magie du recyclage. Après le passage des ordures ménagères dans l’incinérateur, elles se transforment en cendres toxiques, les «mâchefers». C’est leur parcours que l’on suit ici dans un centre de traitement spécialisé.

La composition musicale originale de Romuald Tual s’apparente à la respiration d’un organisme vivant répondant à des cycles répétitifs de digestion, immersif tant dans l’aspect musical que sur le plan de la spatialisation. Soutenue par une pulsation rythmique , elle contraste avec les différentes couleurs harmoniques des fréquences industrielles générées par les machines. C’est en effet en allant chercher des éléments percussifs dans la bande originale, complétés par quelques sonorités génératives, que se sont construit les « sets » rythmiques. Concernant l’aspect harmonique de la pièce : une fois accordées et coupées harmoniquement (FFT), les différentes fréquences de la bande originale se fondent en nappes colorées. Celles-ci se posent sur le tapis rythmique afin d’effectuer l’ultime voyage. Chaque élément, harmonique et/ou rythmique, s’imbrique et répond aux autres grâce à la spatialisation en 5.1 conçue dès la composition.

2010-2012 Up to 1970 Miles

Création de Serge Adam

Musiciens 2010 : Serge Adam : Trumpet & musical creation, Benoît Delbecq : Electric piano 1, Pierre de Bethmann : Electric piano 2, Noël Akchoté : Electric guitar, Bobby Jocky : Electric bass, Benjamin Henocq : Drums, Romuald Tual : Laptop – traitment – numeric beat, Eric Vernhes : Video, Djengo Hartlap : Spatialisation – sound diffusion

Musiciens 2011-2012 : Serge Adam : Trumpet & musical creation, Benoît Delbecq : Electric piano 1, Jozef Dumoulin : Electric piano 2, Christelle Séry : Electric guitar, Bobby Jocky : Electric bass, Benjamin Henocq : Drums, Romuald Tual : Laptop – traitment – numeric beat, Eric Vernhes : Video, Djengo Hartlap : Spatialisation – sound diffusion

Création au Théâtre de l’Agora, Scène Nationale d’Evry Une création sur la période électrique de Miles Davis – 1970-75 – marquée par les albums «Bitches Brew», «On the corner», «Big Fun», «Agharta». Se plonger dans cette époque où émergeaient en même temps, Frank Zappa avec «Hot Rats», Sly and the Family Stone et James Brown
La musique de Miles emprunte alors ces univers du funk pour les transcender par l’improvisation collective dans un projet musical chargé d’ «électricité», de grooves entêtants et de matières nouvelles. Sa référence historique – juste après 68, Woodstock – est très liée au mouvement hip et psychédélique illustré entre autres par les oeuvres d‘Abdul Mati Klarwein et à l’émergence d’une pop music débridée (Jimi Hendrix), de rock (Grateful Dead, Ten Years After) et porteuse de messages (Bob Dylan, Stills, Nash & Young).

L’orchestre de Miles était invité dans ces grands rassemblements pop, à l’île de Wight notamment en 1970. L’idée de Miles était de se rapprocher de la jeunesse noire bercée de funk, de rock, de pop et de R&B en proposant un projet original nourri de ces composantes.
Aujourd’hui, quarante ans après, l’enjeu est de faire revivre cette musique avec les outils numériques et les interfaces actuelles (musique, vidéo*) en conservant sa force, sa radicalité et son originalité. Plus qu’un hommage, une transposition de ces idées novatrices en n’oubliant pas l’essentiel du message d’origine : amener sur le terrain du jazz un public non averti et pluriel.

Il ne s’agira pas ici de «citer» des références musicales, mais d’en proposer de nouvelles en s’imprégnant des méthodes de travail de direction d’orchestre et de compositions qui caractérisent ce cycle très prolifique du parcours musical de Miles Davis. * Ce projet se définit par un «groove» et un son électrique qui évoquent des pulsions physiques. Il est donc d’autant plus intéressant de construire les images vidéos «live» ainsi que l’image globale de la scène autour des corps et des gestuelles des interprètes.

Ces images seront elles-mêmes réinterprétées, traitées en temps réel pour évoluer vers l’abstraction (psychédélisme), la fragmentation (hommage aux traitements vidéo analogiques des années 70: feedback, écho…), le minimalisme (utilisation du vidéo projecteur comme un projecteur de scène) ou la complexité (référence à Abdul Mati Klarwein)…

www.quoideneufdocteur.fr

2012.04.13 à Pôle Sud – scène conventionnée de Strasbourg
2011.05.05 au Cin’Hoche dans le cadre du festival Unis-sons de Bagnolet
2010 Création au Théâtre de l’Agora, Scène Nationale d’Evry

2013 Noël revient tous les ans, Marie Nimier

Commande musiques originales pièce radiophonique
Première diffusion le Samedi 20 avril de 21h à 22h sur France Culture
(Fictions / Drôles de drames) – pièce radiophonique
écouter le Podcast

Réalisation : Laure Egoroff
Ce n’est pas un, mais huit Noël qui défilent sous nos yeux. Chaque fois à un moment différent de la soirée. Année après année, façon cœur de palmier, on en rajoute une couche. La mère, le fils et l’amie du fils (tour à tour Patricia, Nathalie, Catherine, ou Nat, Pat, Cat, si l’on veut) fêtent ensemble le réveillon.
Enfin ensemble, c’est à voir. Aux yeux de la mère, toutes ces filles se ressemblent et ressemblent à sa fille, sa fille qui n’est pas là. Ce qui lui est arrivé ? Mystère. Les absents sont très forts pour s’installer au centre des conversations de Noël… C’est drôle pendant longtemps, et puis ce n’est plus drôle.
Depuis Sirène en 1985, Marie Nimier a publié une douzaine de romans aux éditions Gallimard (La girafe, Les Inséparables, Photo-Photo…). Elle a obtenu le Prix Médicis en 2004 pour La Reine du silence. Son dernier roman, publié en janvier 2013, s’intitule Je suis un homme. Tout un programme…
Si c’est bien le roman qui est au cœur de son travail, elle écrit également des albums pour enfants, des pièces radiophoniques et des chansons (pour Juliette Gréco, Art Mengo, Clarika, Jean Guidoni, Enzo Enzo…). Passionnée de danse et de théâtre depuis toujours, elle contribue à des spectacles musicaux, à des performances et autres lectures dansées où elle n’hésite pas à monter sur scène pour partager ses textes.
Elle travaille régulièrement avec le chorégraphe Dominique Boivin et la metteuse en scène Karelle Prugnaud. Ses pièces sont publiées aux éditions Actes Sud Papiers (La confusion, Adoptez un écrivain, ainsi qu’une pièce musicale pour la jeunesse, La Course aux Chansons.)

Avec :
Eric Herson-Macarel : le narrateur
Marie-Christine Orry : la mère, Minou
Eric Charon : le fils, Thomas
Laure Calamy : l’amie, l’infirmière
Musiques originales : Romuald Tual
Bruitages : Sophie Bissantz
Prise de son, montage et mixage : Bruno Mourlan, Clotilde Thomas, Cédric Chatelus, Amandine Grevoz, Sébastien Labarre
Assistante à la réalisation : Yaël Mandelbaum

2012 Charte sonore France Inter saison 2012-2013

Remixe d’une partie de la charte sonore France Inter composée par Philippe DELETTREZ
Mastering Romain Drogoul @ Radio France

2012 Télénantes

Design sonore pour Télénantes nouvel habillage d’antenne

The Fly Designers
Graphisme : Jonathan Gravier – Motion design : Romain Cousin – Design sonore : Romuald Tual

2012 « This is a special blackout edition! »

Une exposition conçue avec Rossella Biscotti
Vernissage : mardi 9 octobre de 18h à 21h – Dates de l’exposition: du 11 octobre au 16 décembre 2012

Avec : Dora Garcia, Alberto Grifi, Joachim Koester, Jiří Kovanda, Joris Lacoste, Jonathan Monk, Melvin Moti, Tino Sehgal, Akram Zaatari.
En collaboration avec : Tarek Atoui, Nanni Balestrini, Louis Lüthi.

L’exposition This is a special blackout edition! a été conçue avec l’artiste Rossella Biscotti à partir de ses recherches sur le terme «blackout» menées au cours de sa résidence à Kadist.
Rossella Biscotti s’est d’abord intéressée aux installations électriques de la ville de Paris, à son réseau de télécommunications, tout en recueillant des références historiques sur les coupures d’électricité majeures, tel que le célèbre blackout de New York de 1977.
Le blackout désigne une panne d’électricité, mais plus largement, l’interruption momentanée qui laisse le champ libre à de nouvelles perceptions et façons d’éprouver l’espace-temps. Le fait de se retrouver confronté à une coupure de courant oblige à repenser les potentialités de l’espace public, à se lier à des inconnus, à inventer des formes provisoires d’organisation. Le blackout agit alors comme un point de rupture dans un ordre établi, qu’il soit collectif et généré par exemple par un bouleversement politique, ou individuel et causé par une perte de conscience temporaire.
L’exposition s’inspire du poème Blackout écrit par Nanni Balestrini1 et de la technique du cut-up qu’il utilise, et explore le mouvement qu’engendre un blackout, précédé d’accélérations et de saturations qui mènent à la rupture.
Les oeuvres de la collection Kadist donnent forme à la recherche polysémique menée par Rossella Biscotti autour de la notion de blackout. L’exposition qui s’appuie aussi sur des sources documentaires, évoluera au rythme des recherches, des rencontres et des projections.

Kadist Art Foundation, Paris – 19 bis-21 rue des Trois Frères – F-75018

This sound piece is an experiment that Rossella Biscotti and Tarek Atoui are conducting. It unfolds over the duration of the exhibition where nine musicians are invited to work according to the following instructions:

Compose a single channel piece that is precisely 2:00 minutes long

Use one or several terms in the wordbook, given by the artists :
resilience, accident, loosing consciousness, loss in the nervous system, unintended and unexpected failures, disrupting all the functions of society, form of irrationality that comes from within, powerful form of negation, temporary irruption of irrationality, sudden violation of the normal, intimacy with strangers, crack in the flow of time and in the structure of space, breakdown in the flow of actions, in the city’s continuity, breakdown in the social order, state of suspended animation, censorship, overload, acceleration, saturation, rupture, gap, discontinuity.

Take the composition of the previous musician as your only source material

The sound piece will be displayed in two modes:
On a mono speaker where all contributions are synchronized and played simultaneously in loop
On a set of headphones where the audience can hear each contribution individually

2010 « The Killers » de Robert Siodmak

Ciné-concert
commande : Le Vallon, Mauve sur Loire

Le film : The Killers est un film noir américain réalisé par Robert Siodmak, sorti en 1946 avec Burt Lancaster, Edmond O’Brien et Ava Gardner dans les rôles principaux. Il est basé sur la nouvelle éponyme d’Ernest Hemingway datant de 1927.
Synopsis : Deux tueurs débarquent un soir dans un restaurant d’une paisible commune du New Jersey, à la recherche du « Suédois », le pompiste de la station-service voisine. Prévenu du danger par un client, Nick Adams, l’homme ne tente pourtant pas de s’enfuir et est assassiné. Un enquêteur de la compagnie ayant assuré le pompiste va reconstituer le fil des évènements ayant conduit au meurtre en interrogeant les personnes qui l’avaient connu.
Le projet : La musique originale a été « gommée » et la bande son (voix, effets et ambiances) retravaillée, voir recomposée en stéréophonie afin de pouvoir jouer la musique en direct sur la nouvelle version du film projetée.

2009 My funny Valentine

Création concert pour Trompette et électronique
Serge Adam (trompette & laptop), Romuald Tual (laptop)

2009.11.20 dans le cadre du festival Musique en Mouvement, Jarny
2009.10.03 Nuits blanches – Futurs composés, Paris
2009.02.14 Arts numériques d’œuvres et d’installations, Théâtre de l’Agora, Every

2008 Sur le Fil

Serge Adam (trompette & laptop), Romuald Tual (laptop)
participation vocale de Nathalie Desouche
Création pour le festival de Jazz «Les Rendez-vous de l’Erdre», Nantes

Mettre en musique le flux d’une eau qui rythme la vie alentours ? Clapottements, bruits d’eau contre la berge, atmosphère des quais, passage d’un pont, ambiance jour, ambiance nuit…
Rendre lisible les respirations de l’Erdre, la dualité de ce cours d’eau urbain et y puiser pour créér une musique onirique, à la frontière du jazz de l’electroacoustique et de l’électronique.
Les samples convoqués et retravaillés proviennent de l’environnement des bords de l’Erdre, la musique comme un flux, comme l’eau qui file, une situation apparemment sans histoire, mais très riche à l’intérieur, avec une multitudes de micros-évênements pleins de rythmicité qui nous tiennent en éveil, rebondissent et nourissent l’imaginaire, terreau propice au développement de l’improvisation.
La trompette comme un chant… La muse du fleuve en quelque sorte…

2008 Festival de jazz «Les Rendez-vous de l’Erdre», Nantes

2000-2008 concerts ro3 solo

2008.02 Concert dans l’émission Tapage nocturne de Bruno letort sur France Musique en direct du lieu unique lors du Festival «Les folles journées de Nantes» Thème : Franz Schubert
pièces perso + D703 F.Schubert + session avec Christian Zanési.

La musique électroacoustique va parfois se nicher dans les recoins les plus inattendus… En effet, dans le cadre de la Folle Journée de Nantes, millésime 2008, France Musique vous convie au Lieu Unique à Nantes, salle nantaise dédiée à l’électro, à l’occasion de deux émissions qui se dérouleront en public et en direct. France Musique se targue de n’être pas uniquement la radio du classique ou du jazz, deux genres musicaux qui constituent tout de même le fonds de commerce de cette chaîne publique musicale, quoi qu’elle en dise…
Cependant, la présente initiative constitue indubitablement un effort dans la bonne direction, c’est-à-dire faire pour faire connaître des musiques qui restent « confidentielles » à un public plus large ; nous ne pouvons qu’applaudir des deux mains.

2007 Concert @ Festival Les informels – Théâtre du Sphinx, Nantes
2005 Concert en quadriphonie @ Comportements Sonores Festival – Les Voûtes (les Frigos), Paris
2004 Concert @ le lieu unique, Nantes
2004 Concert @ Festival Signature au Nouveau Casino, Paris
2004 Concert @ Festival Emergences #2, Glaz’art, Paris
2004 E.M.F. (electronic music fundation) 10 ans – Palais de Tokyo, Paris
2004 Concert en quadriphonie @ Manège de Reims
2003 Concert @ Diaphonic 2 – Les Voûtes (les Frigos), Paris
2002 Concert en quadriphonie @ Acces Festival, Pau
2000 Concert fête de la musique du G.R.M. @ auditorium Olivier Messiaen (Radio France), Paris

2006 OrganicOlogie

Performance son et image
Cyrille Henry (ch), Romuald Tual (ro3)

Les deux artistes s’attachant à partager une forme organique mais abstraite, ce concert sera improvisé autour d’une trame narrative évoluant dans le champ sémantique du voyage et de la découverte. Ils invitent le spectateur à laisser son inconscient évaluer, capter et accéder à une émotion spontanée, libérée par le champs étendu d’une abstraction organique. La musique et les images animées se complètent et se renforcent dans la narration, créant une circulation harmonieuse.
Basé sur l’utilisation d’enregistrements sonores, de photographies, puis sur l’analyse et le traitement en temps réel de ces données, ce travail se compose de sons traditionnels, d’ambiances naturelles ainsi que de grooves uniques et chaleureux complétés par un environnement visuel complexe, aux connotations naturelles, animales et végétales.

D’un point de vue technique, Romuald joue avec les sons, les notes et les modulations. Ce jeu en soi est simultanément utilisé pour moduler et afficher des images, animant ainsi d’une intention unique l’espace sonore et visuel.
Apportant plus que du son et de l’image, ce projet souligne une relation spécifique entre les médias : tous deux sont profondément liés dans leurs comportements. Ce projet se différencie du travail de musicien/VeeJay dans le sens où une source unique contrôle le son et l’image, offrant ainsi des interactions précises tout en restant improvisées. De plus, ce projet exclut une vision redondante d’une même partition, il se nourrit, au contraire, de la complémentarité des sens. Les partitions visuelles et sonores harmonisent leurs différences, leurs identités.

Le son et l’image sont tout deux générés sur des ordinateurs différents, reliés ensemble par une connection réseau.
Les partitions de Romuald pilotent donc directement les instruments visuels de Cyrille, mais celui-ci garde sa faculté d’instrumentiste et intervient sur la « qualité » de l’interprétation de ces instruments.

2005 20000 lieues sous les mers

Ciné-concert orchestre / électronique
Fête de la musique 2005 à l’opéra de Minsk, Biélorussie
Ambassade de France – galerie d’art Terres des Hommes

Film muet de Stuart Paton (1916) basé sur le roman de Jules Verne

Musique originale de Bruno Letort et Jean-Michel Hervé avec l’Orchestre National du Ballet et de l’Opéra Belaruss sous la direction d’Andreï Galanov Composition électronique & électroacoustique (en quadriphonie) par Romuald Tual a.k.a. ro3

C’est en 1916 que la première version cinématographique, en noir et blanc, sort sur les écrans.
Stuart Paton signait alors une adaptation assez libre, mais très aboutie, à la fois de «20 000 lieues sous les mers» et de «l’Ile mystérieuse», qui obtint un succès considérable grâce aux premières prises de vue sous-marines des frères Williamson, tournées aux Bahamas.
Il parvint à recréer fidèlement l’atmosphère de Jules Verne tout en tissant son intrigue à partir de plusieurs Voyages extraordinaires, ce qui fait de cette version l’une des meilleures adaptations filmographiques de Jules Verne.

2005 Opéra de Minsk, Biélorussie

2002-2006 Streaming / Les machines heureuses

Concert électroacoustique / électronique
Christian Zanési (électroacoustique, diffusion)
Romuald Tual (électronique, diffusion)

Depuis plusieurs années nous avons entrepris la composition d’un vaste ensemble de pièces initiées par une réflexion de Roland Barthes «Ce sont les machines heureuses qui bruissent».
À chaque nouvelle occasion, nous continuons et enrichissons ce work in progress. Au gré des circonstances, nous y intégrons des sons nouveaux en ne perdant jamais de vue l’esprit général.

2006 Festival Musique dans la rue, Aix-en-Provence
2006 Vibrö Day arts sonores, Montpellier
2005 ADCEM Conférence (+ concert) – Ecole Nationale de Musique de Dieppe
2005 L’Itinéraire de Nuit – Bibliothèque Cité Internationale Universitaire, Paris
2005 Théâtre Athenor, Saint Nazaire
2004 E.M.F. (electronic music fundation) 10 ans – Palais de Tokyo Paris
2004 Mon bel accordéon Festival, Théâtre 71 Malakoff
2004 Festival du Label Signature – Nouveau Casino, Paris
2003 Extension du domaine de la note III « Christian Zanési plus affinités» – Péniche Opéra Paris
2002 Festival Access, Pau
2002 Extension du domaine de la note II, théâtre Silvia Monfort Paris

2003 Around 3 gardens

Multimédia performance
Benoît Delbecq (sampleurs, bass & drum station), Gilles Coronado (guitare, électronique), Serge Adam (trompette, électronique, Eric Vernhes (vidéo, électronique), Djengo Hartlap (quadriphonie), Romuald Tual (électronique)

Une création collective et interactive entre matière sonore et visuelle, faisant intervenir le numérique pour le traitement en temps réel du son, de l’image et de la diffusion dans l’espace.
Ces éléments sont la trame d’une composition qui se construit au fur et à mesure, les phrases des improvisateurs, le traitement et les événements vidéo s’interrogeant à tour de rôle.
Dans ces phrasés musicaux, l’image tient réellement la place d’un instrument et propose au spectateur des éléments de construction narrative.
La composition intervient au niveau des transformations de timbres mais aussi des modules rythmiques et des séquences d’objets sonores. Ici, pas de «séquences», de «beat» préparés où l’on se pose, mais de «samples» originaux déclenchés dans l’action du concert pour nourrir la matière en construction.

2003 Diaphonic 1 – L’échangeur, porte de Bagnolet, Paris
2003 Diaphonic 2 – Les Voûtes (les Frigos), Paris

2002-2006 Electroduo

Pascal Contet (accordéon)
Romuald Tual (électronique)
Thierry Coduys (quadriphonie, diffusion)
concerts en collaboration avec le label Signature de Radio France

« Mes récentes collaborations engagées dans un répertoire pour accordéon et électronique m’ont donné l’envie de les élargir au contact d’un musicien électronique. Mais comment aborder les techniques de son actuelles au profit d’une musique électronique en mouvement sans pour autant se perdre dans un résultat uniquement «dansant techno» ? Qui trouver pour élaborer cette recherche entre le plaisir du son, du rythme et de l’improvisation à deux ?
Ce questionnement a trouvé réponse en la personne de Romuald Tual (Ro3). »
P. Contet

2006 Festival Accordéon Summit – Salle Nougaro, Toulouse
2004 Silvia Monfort Théâtre la Muse en circuit, Paris
2004 Maerzmusik Festival, Berlin
2004 Dimanche des curiosités – le Manège, Reims
2003 Kitchen Kom – La gaitée lyrique, Paris
2003 Festival Wazemmes, [avec Guesh Patti danse & vocal], Lille
2003 Résonances Festival, [avec Guesh Patti danse], Nantes
2003 Festival Amplitudes, Copenhague Danemark
2003 Magic mirror, Cavaillon
2002 Festival des 38e Rugissants, Grenoble

2002 Sonic Process

Manifestation initiée par le Centre Pompidou
Sonic process : une nouvelle géographie des sons. Une certaine musique a depuis quelques années ouvert les voies à une nouvelle esthétique, de même qu’elle a généré des modes différents de production et de diffusion des oeuvres. Elle est désormais considérée comme un modèle de pensée et d’action pour les arts plastiques en mutation.

Il est question ici de musique électronique composant sa trame sur ordinateur, expérimentant différents paramètres relatifs au rythme et au flux, utilisant comme méthode la répétition, la juxtaposition, la superposition et se servant des sons préexistants. Sonic process, une manifestation du Centre Pompidou, a pour objectif de mettre en évidence les paradoxes de la modernité par la recherche de concepts avant-gardistes dans le contexte d’une économie mutante et globalisante.

Featuring : Scanner . David Shea . Cold cut . Richard Dorfmeister . Mathieu Briand & Eric Lecoin . Flow Motion . Matthieu Voirin & Eric Alcala . Opak . Phagz.

Sonic Process , manifestation initiée par le Centre Pompidou, du 22 octobre 2002 au 13 janvier 2003 , elle sera en avant-première au MACBA de Barcelone du 2 mai au 1er juillet 2002 et partira en tournée en hiver et au printemps 2003 au Podewil à Berlin ainsi qu’à la Fondation Serralves de Porto.

2002 L’Ombre de la méduse (Shade of the jellyfish)

Michel Redolfi (électroacoustique)
Thomas Bloch (glass harmonica, Ondes Martenot)
Romuald Tual (électronique)
Commande du G.R.M. (Groupe de Recherche Musicale) réalisé aux studio de l’I.N.A. GRM

GRM Experience :
Fennesz – Michel Redolfi, Thomas Bloch et DJ Röm (Romuald Tual) – Collectif Canicule – A. Rebotini

Dans le cadre de cette première édition du festival Villette Numérique, et après les concerts de Kraftwerk, deux soirée concerts avec des artistes un peu plus d’actualité avec ce soir Arnaud Rebotini peut être plus connu sous le nom de Zend Avesta, et Fennesz que l’on ne présente plus puisque l’on parle régulièrement de lui dans ces pages.
Sous le nom de GRM Expérience se cache quatre concerts d’artistes ayant passé quelques temps au GRM (Groupe de Recherches Musicales).
La salle Boris Vian de la Grande Halle de la Villette est un véritable petit auditorium tout à fait adapté à ce genre de prestation en alliant confort et qualités d’écoute exceptionnelles.
La troisième pièce proposera une rencontre intéressante entre DJ Röm et Thomas Bloch qui ensemble revisite L’Ombre de la Méduse de Michel Redolfi. Les deux musiciens venus d’univers complètement différents combinent sonorités pures pour Thomas Bloch tour à tour au glassharmonica (étrange instrument sous la forme d’un cône en verre) et aux ondes Martenot, et une musique assez orienté dark ambient pour DJ Röm.
L’ensemble évoque par moment la musique d’un film d’angoisse, d’une messe noire, le côté cinématographique étant renforcé par de nombreux samples de voix, et bruitages qui créent un mouvement, un semblant d’histoire.
Le deux musiciens sont toujours en accords, chacun laissant à l’autre l’occasion de s’exprimer, sachant s’effacer pour mettre au premier plan les mélodies de Thomas Bloch ou les ambiances sombres de DJ Röm.
Fabrice Allard

2002 G.R.M. expériences – La Villette numérique, Paris

2002-2003 Phagz & ro3

Concert Electronica
Phagz (Frédéric Garaud) & ro3 (Romuald Tual)

2003 Concert en réseau : Émission de Nantes vers le Festival Douche électrique à Brest
Concert synchronisé à une installation multimédia de Guillaume Fouet « Cube »
2002 Fête de la musique du G.R.M., La Maroquinerie, Paris

2000-2001 Bienvenue dans un monde meilleur

Ou les avatars de la modernité telle qu’on la rêvait de 1900 à 1942. Ciné-concert, partition originale pour films muet & noir et blanc (Buster Keaton, amimations…)

Trio Angulaire, Lauréat d’une audition pour Thécif (théâtres et cinémas en Île-de-France)
Roland Spenlé (contrebasse)
Phagz & Romuald Tual (électronique)

2001 Le Lieu Unique, Nantes
2001 Roueyn Noranda International films Festival en Abitibi, Canada
2001 Musée de la Civilisation, Québec
2001 Cinéma Carrefour, Joliet (Québec)
2001 Ex-centris New Medias Festival, Montréal
2001 Festival Bête de scène, Mulhouse
2001 Scènes Rurales (Île-de-France tour)
2001 Festival des Bords de Scène – le Batofar, Paris
2001 Ouverture de saison du Manège de Reims
2000 Batofar, Paris
2000 Côté Court (film festival), Paris
2000 Némo (film & nouveaux médias festival), Paris

1998-1999 Techno space piano

Récital spectacle pour piano spatialisé et platines
Denis Levaillant (électroacoustique, piano), Marc Piera (spatialisation), Romuald Tual (platines préparées), Nicolas Simonin (création lumière)

« Une rencontre entre deux créateurs atypiques : Rom (Romuald Tual) qui travaille sur les fusions possibles qu’offre la musique électronique et Denis Levaillant un des musiciens contemporains les plus facétieux de ces dernières années dont l’inspiration pourrait se situer d’une part entre Keith Jarret et Terry Riley, et d’autre part la performance dans toute sa splendeur : ne joue-t-il pas à partir de son piano avec 24 haut-parleurs et la lumière ?

C’est ainsi qu’il tente de travailler dans ce que l’on pourrait appeler la «spatialisation de l’extrême» : le son y est multidiffusé, l’éclairage fait partie aussi des marqueurs de l’espace et l’englobe d’une sorte d’improvisation, mais la rencontre avec un deejay rend l’expérience encore plus riche et vous emmènera vers des rivages, virages, ravages musicaux, rêves ou raves…

Il faut tout attendre de musiciens pareils. Levaillant va même plus loin après de nombreux spectacles, il a travaillé avec des décors d’Enki Bilal à la présentation de son opéra : O.P.A. Mia, à Avignon.
Rom donnera la techno touch’ à son set, encore une nouvelle voie qu’ouvrira ce sorcier de la techno française. »
(Michel Redolfi, extrait du programme festival Manca 98)

1998 Festival Manca, Nice
1999 Festival d’Ile de France, Paris